J’ai 47 ans et je suis psychologue /Psychothérapeute systémicien. Je travaille principalement avec les couples et les familles, mais aussi en individuel.Les personnes qui m’ont consultées disent que je suis quelqu’un de doux, de calme et de très investi dans les entretiens. Elles disent aussi que je suis atypique par rapport aux collègues psychologues qu’elles ont connus, et que cette caractéristique est vécue de façon très positive pour elles. Lorsque j’ai présenté mon histoire familiale et personnelle en seconde année de formation post-universitaire en systémique, Mme E. Goldbeter m’a dit notamment: « On dirait que tu racontes l’histoire d’un homme de 70 ans, alors que tu n’en as que 36. Tu as fait plein de choses dans la vie,… ». Effectivement, j’ai 46 ans et je suis à présent un psychologue, un psychothérapeute, depuis deux ans un chargé de cours à l’université de Liège en tant qu’expert en psychologie, un photographe et un musicien, qui assemble ses différentes expériences de vie pour tenter de les rendre utiles dans les rencontres psychologiques. J’utilise souvent la métaphore, l’humour mais aussi la musique, la photographie, et bien d’autres choses encore afin de rendre la situation de souffrance qui m’est présentée la plus simple, la plus claire, la plus explicite et la plus intelligible possible pour tous. Cette compréhension collective est souvent liée au début de la résolution du/des problème(s). Lorsque des couples, des familles ou qu’une personne poussent la porte de mon cabinet de consultations, je leur explique toujours certains points sur lesquels je suis particulièrement attentif : la communication, les émotions, l’histoire familiale, le sentiment de justice et d’injustice vécue entre les personnes. S’attarder sur ces différents points constitue souvent une clé pour résoudre le problème…